La chaîne de phrases

...des méthodes d'épilation diverses et variées.
Tout le monde sait que l'épilation, c'est douloureux. Malheureusement, il y a des choses que même la magie ne peut pas changer, et le professeur
McGonagall ne put s'empêcher de lever un sourcil en voyant Hagrid blêmir.
- Peut-être pourrions-nous demander au professeur Rogue de vous faire une potion anesthésiante ? , proposa-t-elle en souriant malgré elle.
Hagrid hésita un instant et finit par



Xérès

Hagrid ne dormait plus depuis qu'on lui avait demandé, comme au capitaine Haddock, s'il dormait la barbe au-dessus ou au-dessous des couvertures. Il avait beau se préparer des tisanes au tilleul, envoyer son sale clébard baver dehors pour ne pas être dérangé, rien n'y faisait.

Il alla trouver son voisin Dumbledore, lui priant de lui prêter quelques grains pour subsister. Dumbledore lui dit : Ah la barbe ! On voit bien que tu ne dors plus, Hagrid ! T'es dans une fable de La Fontaine. »

Tout penaud, Hagrid s'en retourna avec son problème dans sa cabane. Il eut alors une idée géniale : se couper la barbe. « C'est sûr que ça ferait moins dégueulasse, » pensa-t-il. Mais il y tenait, à sa crinière de bas de visage.

En désespoir de cause, il alla chercher conseil auprès de Minerva McGonagall, qui avait des vestiges de moustache et de barbiche qui lui restaient de ses multiples transformations en chat.

La digne femme lui proposa des méthodes d'épilation diverses et variées. Tout le monde sait que l'épilation, c'est douloureux. Malheureusement, il y a des choses que même la magie ne peut pas changer, et le professeur McGonagall ne put s'empêcher de lever un sourcil en voyant Hagrid blêmir.

- Peut-être pourrions-nous demander au professeur Rogue de vous faire une potion anesthésiante, proposa-t-elle en souriant malgré elle.

Hagrid hésita un instant et finit par dire :« Bon! Après tout, ma barbe n'est pas si malpropre. Je viens d'aller voir Le Hobbit et la barbe du magicien brun, pleine de merde d'oiseau qui y a dégouliné et séché, est autrement plus dégueulasse. Je crois donc que je vais la garder. »

Là-dessus, il sortit du bureau de McGonagall et s'en fut

Hagrid ne dormait plus depuis qu'on lui avait demandé, comme au capitaine Haddock, s'il dormait la barbe au-dessus ou au-dessous des couvertures. Il avait beau se préparer des tisanes au tilleul, envoyer son sale clébard baver dehors pour ne pas être dérangé, rien n'y faisait.

Il alla trouver son voisin Dumbledore, lui priant de lui prêter quelques grains pour subsister. Dumbledore lui dit : Ah la barbe ! On voit bien que tu ne dors plus, Hagrid ! T'es dans une fable de La Fontaine. »

Tout penaud, Hagrid s'en retourna avec son problème dans sa cabane. Il eut alors une idée géniale : se couper la barbe. « C'est sûr que ça ferait moins dégueulasse, » pensa-t-il. Mais il y tenait, à sa crinière de bas de visage.

En désespoir de cause, il alla chercher conseil auprès de Minerva McGonagall, qui avait des vestiges de moustache et de barbiche qui lui restaient de ses multiples transformations en chat.

La digne femme lui proposa des méthodes d'épilation diverses et variées. Tout le monde sait que l'épilation, c'est douloureux. Malheureusement, il y a des choses que même la magie ne peut pas changer, et le professeur McGonagall ne put s'empêcher de lever un sourcil en voyant Hagrid blêmir.

- Peut-être pourrions-nous demander au professeur Rogue de vous faire une potion anesthésiante, proposa-t-elle en souriant malgré elle.

Hagrid hésita un instant et finit par dire :« Bon! Après tout, ma barbe n'est pas si malpropre. Je viens d'aller voir Le Hobbit et la barbe du magicien brun, pleine de merde d'oiseau qui y a dégouliné et séché, est autrement plus dégueulasse. Je crois donc que je vais la garder. »

Là-dessus, il sortit du bureau de McGonagall et s'en fut à Pré-au-Lard, à la taverne des Trois Balais, où il ingurgita en un temps record une cinquantaine de verres de whisky Pur Feu, dont une partie dégoulina dans sa barbe, exterminant du coup des milliers de microbes, germes, bactéries et autres animalcules qui y avaient trouvé refuge. Titubant à peine, il se leva, heureux d'avoir célébré sa décision de conserver sa forêt faciale et

Hagrid ne dormait plus depuis qu'on lui avait demandé, comme au capitaine Haddock, s'il dormait la barbe au-dessus ou au-dessous des couvertures. Il avait beau se préparer des tisanes au tilleul, envoyer son sale clébard baver dehors pour ne pas être dérangé, rien n'y faisait.

Il alla trouver son voisin Dumbledore, lui priant de lui prêter quelques grains pour subsister. Dumbledore lui dit : Ah la barbe ! On voit bien que tu ne dors plus, Hagrid ! T'es dans une fable de La Fontaine. »

Tout penaud, Hagrid s'en retourna avec son problème dans sa cabane. Il eut alors une idée géniale : se couper la barbe. « C'est sûr que ça ferait moins dégueulasse, » pensa-t-il. Mais il y tenait, à sa crinière de bas de visage.

En désespoir de cause, il alla chercher conseil auprès de Minerva McGonagall, qui avait des vestiges de moustache et de barbiche qui lui restaient de ses multiples transformations en chat.

La digne femme lui proposa des méthodes d'épilation diverses et variées. Tout le monde sait que l'épilation, c'est douloureux. Malheureusement, il y a des choses que même la magie ne peut pas changer, et le professeur McGonagall ne put s'empêcher de lever un sourcil en voyant Hagrid blêmir.

- Peut-être pourrions-nous demander au professeur Rogue de vous faire une potion anesthésiante, proposa-t-elle en souriant malgré elle.

Hagrid hésita un instant et finit par dire :« Bon! Après tout, ma barbe n'est pas si malpropre. Je viens d'aller voir Le Hobbit et la barbe du magicien brun, pleine de merde d'oiseau qui y a dégouliné et séché, est autrement plus dégueulasse. Je crois donc que je vais la garder. »

Là-dessus, il sortit du bureau de McGonagall et s'en fut à Pré-au-Lard, à la taverne des Trois Balais, où il ingurgita en un temps record une cinquantaine de verres de whisky Pur Feu, dont une partie dégoulina dans sa barbe, exterminant du coup des milliers de microbes, germes, bactéries et autres animalcules qui y avaient trouvé refuge. Titubant à peine, il se leva, heureux d'avoir célébré sa décision de conserver sa forêt faciale et ...

Retourna à Poudlard, où il savait que son aide serait toujours appréciée, quelque soit la longueur de sa barbe. Harry, Hermione et Ron, qui l'attendaient devant sa cabane, furent ravis de le voir revenir la mine moins sombre. Sitôt qu'il les retrouva, il...

Hagrid ne dormait plus depuis qu'on lui avait demandé, comme au capitaine Haddock, s'il dormait la barbe au-dessus ou au-dessous des couvertures. Il avait beau se préparer des tisanes au tilleul, envoyer son sale clébard baver dehors pour ne pas être dérangé, rien n'y faisait.

Il alla trouver son voisin Dumbledore, lui priant de lui prêter quelques grains pour subsister. Dumbledore lui dit : Ah la barbe ! On voit bien que tu ne dors plus, Hagrid ! T'es dans une fable de La Fontaine. »

Tout penaud, Hagrid s'en retourna avec son problème dans sa cabane. Il eut alors une idée géniale : se couper la barbe. « C'est sûr que ça ferait moins dégueulasse, » pensa-t-il. Mais il y tenait, à sa crinière de bas de visage.

En désespoir de cause, il alla chercher conseil auprès de Minerva McGonagall, qui avait des vestiges de moustache et de barbiche qui lui restaient de ses multiples transformations en chat.

La digne femme lui proposa des méthodes d'épilation diverses et variées. Tout le monde sait que l'épilation, c'est douloureux. Malheureusement, il y a des choses que même la magie ne peut pas changer, et le professeur McGonagall ne put s'empêcher de lever un sourcil en voyant Hagrid blêmir.

- Peut-être pourrions-nous demander au professeur Rogue de vous faire une potion anesthésiante, proposa-t-elle en souriant malgré elle.

Hagrid hésita un instant et finit par dire :« Bon! Après tout, ma barbe n'est pas si malpropre. Je viens d'aller voir Le Hobbit et la barbe du magicien brun, pleine de merde d'oiseau qui y a dégouliné et séché, est autrement plus dégueulasse. Je crois donc que je vais la garder. »

Là-dessus, il sortit du bureau de McGonagall et s'en fut à Pré-au-Lard, à la taverne des Trois Balais, où il ingurgita en un temps record une cinquantaine de verres de whisky Pur Feu, dont une partie dégoulina dans sa barbe, exterminant du coup des milliers de microbes, germes, bactéries et autres animalcules qui y avaient trouvé refuge. Titubant à peine, il se leva, heureux d'avoir célébré sa décision de conserver sa forêt faciale et retourna à Poudlard, où il savait que son aide serait toujours appréciée, quelle que soit la longueur de sa barbe.

Harry, Hermione et Ron, qui l'attendaient devant sa cabane, furent ravis de le voir revenir la mine moins sombre. Sitôt qu'il les retrouva, il lança : « Faut fêter ça, les amis ! », les trois jeunes ne sachant pas trop ce qu'il voulait fêter. Hagrid sortit néanmoins de sa réserve un tonneau d'hydromel, dans lequel il était tombé étant petit et, après avoir versé à ses amis de petits verres (qui devaient contenir au moins cinq litres chacun), il but le reste à même le tonneau, exterminant avec ce qui lui dégoulina dans la barbe les animalcules qui n'avaient pas survécu à la première ondée.

Sans dire un mot de plus, laissant là tout bêtement ses amis devant leur verre gigantesque, il fit quelques pas et tomba lourdement sur son lit. De peine et de misère, Harry, Hermione et Ron le couchèrent et le bordèrent, prenant bien soin de laisser sa barbe par-dessus les couvertures. Ils quittèrent la cabane sur la pointe des pieds.

Quand il se réveilla le lendemain matin, Hagrid constata avec plaisir, non seulement qu'il avait dormi, mais qu'il avait résolu le problème qui l'avait rendu insomniaque.

Sa barbe et lui coulèrent des jours heureux pendant encore longtemps, assez longtemps pour que se renouvelle la faune qui habite son Amazonie mentonnière.

FIN

-je répondrai plus tard à l'histoire-
LunaL, j'espère que tu reviendras... tu vas beaucoup me manquer

Neville confiant au départ eu soudainement le trac, et s'il
voyait que ces amis le savait... il ne serait plus digne d un griffondor mais d un ....

-Myrtille

Neville confiant au départ eu soudainement le trac, et s'il
voyait que ces amis le savait... il ne serait plus digne d un griffondor mais d'un gros trouillard de Serpentard comme ...

La Bleue

Neville confiant au départ eu soudainement le trac, et s'il
voyait que ces amis le savait... il ne serait plus digne d un griffondor mais d'un gros trouillard de Serpentard comme ...Vincent Crabbe, Grégory Goyle ou ce Malefoy...

Neville, confiant au départ, eut soudainement le trac : et s'il
voyait que ses amis le savaient... il ne serait plus digne d un Gryffondor mais d'un gros trouillard de Serpentard comme ...Vincent Crabbe, Grégory Goyle ou ce Malefoy...Pourtant, la chose était tout à fait normale à son âge : il était amoureux et avait décidé que c'était aujourd'hui ou jamais qu'il déclarait sa flamme...

Neville, confiant au départ, eut soudainement le trac : et s'il
voyait que ses amis le savaient... il ne serait plus digne d un Gryffondor mais d'un gros trouillard de Serpentard comme ...Vincent Crabbe, Grégory Goyle ou ce Malefoy...Pourtant, la chose était tout à fait normale à son âge : il était amoureux et avait décidé que c'était aujourd'hui ou jamais qu'il déclarait 
Sa flamme ...
... alors, il prit une bonne rasade de felix felicis et attendit son effet quand il se rendit soudain compte qu'il avait oublié de ...... DE SE RASER !!! Ah ... Mais en fait ...

Serdaigles, en train de se servir un jus de citrouille. Ses longs cheveux blonds sales et emmêlés lui tombait sur ses énormes yeux bleus-argentés ; un colier de bouchons de bièrraubeurre passé autour du cou, des radis suspendus aux oreilles, Luna Lovegood par excellence.
Dès que son regard tomba sur elle, il la trouva si belle que, sans pouvoir se retenir, il hurla :
LUNAAAAAAAAAAAAAAAAAA !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! JE T'AIME !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!  

La totalité de la grande salle se tourna vers lui et Luna s'approcha de lui...  

Neville avait le coeur qui battait la chamade...  

...  

Elle lui dit...

-Tu as pleins de Joncheruines dans ta barbe
 

Neville, confiant au départ, eut soudainement le trac : et s'il voyait que ses amis le savaient.

Il ne serait plus digne d'un Gryffondor, mais d'un gros trouillard de Serpentard comme Vincent Crabbe, Gregory Goyle ou ce Malefoy.

Pourtant, la chose était tout à fait normale à son âge : il était amoureux et avait décidé que c'était aujourd'hui ou jamais qu'il déclarait sa flamme.

Alors, il prit une bonne rasade de felix felicis et attendit son effet, quand il se rendit soudain compte qu'il avait oublié de se raser !!!

Ah ! Mais en fait, son rasoir s'était envolé la veille au soir, « emprunté » par une pie attirée par les reflets du métal. Puis, elle l'avait lâché au-dessus du lac sous les rires des élèves.

Neville soupira, s'habilla, descendit dans la Grande Salle pour chercher celle pour qui son coeur battait.

Il l'aperçut assise à la table des Serdaigle, en train de se servir un jus de citrouille.

Ses longs cheveux blonds, sales et emmêlés, tombaient sur ses énormes yeux bleu argenté; un collier de bouchons de bièrraubeurre passé autour du cou, des radis suspendus aux oreilles, Luna Lovegood par excellence.

Dès que son regard tomba sur elle, il la trouva si belle que, sans pouvoir se retenir, il hurla :

- LUNAAAAAAAAAAAAAAAAAA !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! JE T'AIME !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

La totalité de la grande salle se tourna vers lui, et Luna s'approcha de lui.

Neville avait le coeur qui battait la chamade.

Elle lui dit :

-Tu as plein de joncheruines dans ta barbe.

Neville aurait bien aimé, à ce moment-là, se servir un verre de rhum, tant il resta baba, surtout qu'il trouvait que quelqu'un dans cette histoire n'aimait pas beaucoup sa dulcinée (« franchement, yeux énormes et cheveux sales, » se disait-il, alors que lui, il voyait deux magnifiques saphirs au milieu d'un champ de blé mûr). Il pensa :

« Cette fille est dingue, mais je suis dingue d'elle. Elle ne risque donc pas de me rendre dingue, puisque je le suis déjà. »

Et au loin, on entendait une chanson de Charles Trenet : « Et les cloches font dingue-dingue-dong ! »

C'est alors que